Hirst Orgasm (No comment)

Valérie Oddos, France Télévision: « Hervé Chandès, directeur général de la Fondation Cartier :Ça a été un éblouissement visuel, un enchantement, quelque chose de très jubilatoire”, décrit-il. […] Les Cerisiers en fleurs évoquent les impressionnistes, les néo-impressionnistes, Bonnard, et aussi Jackson Pollock, avec des coulures.»

Isabelle Gaudefroy, directrice de la programmation de la Fondation, évoque “un véritable éblouissement”: “l’impression de plonger dans la jubilation de peindre”. 

L’Express :« Dans les toiles de Cerisiers en fleurs, seulement des dizaines de milliers de touches vives et joyeuses. […] un mélange de pointillisme et d’Action painting (la peinture gestuelle, souvent par projection) typique de Hirst, dont les références sont aussi bien Jackson Pollock et Willem de Kooning que Georges Seurat ou Pierre Bonnard. ». 

Slash-Paris :« La série Cherry Blossoms réinterprète avec une ironie joyeuse le sujet traditionnel et populaire de la peinture de paysage. Sur la toile, Damien Hirst mêle touches épaisses et projections de peinture faisant référence tant à l’impressionnisme et au pointillisme qu’à l’action painting.» 

Justice Couiallac, The Art Newspaper :« De couleurs printanières, les toiles évoquent le pointillisme, mais aussi l’impressionnisme, mouvement auquel l’artiste entend se rattacher à sa manière, afin de “revenir avec enthousiasme à la spontanéité du geste pictural.»

Sylvain Silleran France Fine Art :« L’impressionnisme des Nymphéas de Monet s’est propulsé dans un XXIème siècle de manga, de graphisme minimaliste pour écran de poche, un monde de plastique, de supérettes 24/7 et des déchets qui s’accumulent. Comment alors créer le beau et célébrer la nature ?»

Anne-Cécile Sanchez, Le Journal des Arts :«  Les pétales versicolores s’empâtent cependant sur la toile où ils semblent avoir été tantôt apposés, tantôt projetés, combinant allégrement impressionnisme, pointillisme, action painting et matiérisme

Laurent P., Sortir à Paris :« Un style entre le pointillisme, l’impressionnisme et l’action painting qui permet à Damien Hirst de réinterpréter “avec une ironie joyeuse le sujet traditionnel et populaire de la peinture de paysage“»

Jean Sébastien Stheli, Madame Figaro :«…Cette série représente un effort considérable, pas moins de trois années de travail. […] L’été parisien sera “hirstien” ou ne sera pas.»

Émile Rabenjamina, Beaux-Arts:« Ou ces immenses toiles “joyeuses” ne seraient-elles pas simplement un autre volet de ses réflexions sur la mort et le temps qui passe ?»

 

recueilli et mis en scène joyeusement par : Léon Mychkine

 

mychkine@orange.fr

 

Newsletter